Le têtes de puits

Vera da pozzo est un terme de Venise; il définit avec la pierre de construction superposé sur le canon du puits et à la protection de son ouverture. Au début ce était un élément avec des fonctions simples que la sécurité et, au fil du temps, est devenu un ornement riche et coloré de places et de patios.

The Venetian de puits était une plante assez complexe et coûteux, un véritable citerne souterraine d'eau potable.

L'eau était la pluie qui a filtré de la masse de sable placés dans un bassin étanche, réalisés artificiellement par une couche d'argile, la soi-disant «Cri», qui se étendait sur toute la surface d'un champ ou d'un tribunal; a ensuite été recueillis par la maçonnerie centrale baril formé par briques spéciales dit juste "Pozzali".

A Venise il y avait un plus nombre remarquable de puits, et ce afin de combler le besoin d'eau potable pour une ville qui, en dépit d'être entouré et pénétré par l'eau, «è in aqua et non ha aqua» (M. Sanudo ) est l'eau, mais n'a pas l'eau.

Certes, il est dit que pour une durée d'architecture tête de puits, au cours des siècles achetait formes d'art de plus en plus élaborées et complexes. Modestes ou somptueux, soulevée par une ou plusieurs étapes à la surface de la route (parfois avec des plateaux à la base pour la soif de chiens et pigeons), présentant le caractère de petits monuments de forme cubique, circulaire, polygonale; avoir la forme de capital, enrichira aussi supporte marbre ou en métal sur laquelle se applique la poulie pour vous permettre de faire défiler la corde du seau. Variatissima et la décoration imaginative en relief: arbres, guirlandes de fruits et de fleurs, gondolées feuillage, chérubins, anges reggiscudo, paons face, têtes de lion, des motifs allégoriques, des inscriptions morale. Les ours de puits privés souvent l'arme de la famille patricienne qui l'a commandé (ces crêtes, il semble être le premier exemple du XIIIe siècle); les puits publics portant l'emblème de l'immeuble de magistrat, mais aussi le nom (ou des noms si plus une), qui a ordonné sa construction, ou l'effigie de la Justice, des algues, des tridents, des dauphins et des raisons similaires faites symbole de la règle de la république des mers.

Question d'importance vitale, celle de l'eau, pour les Vénitiens, qui dès le début a fallu pour construire des citernes souterraines rudimentaires (improprement appelé «puits») se composent de un simple trou avec baril fortifiée pour la collecte, la purification et la conservation eaux pluviales ou les doux prises dans les rivières Brenta et Sile, puis transportés vers Venise avec des barges à payer en puits dits. Une société, créée en 1386 et est connu comme porteurs d'eau était responsable de la fonction publique; ce est sous la juridiction de la magistrat de la Santé et Collège de la Milice de Mar (Tassini).

Eh bien vénitienne est un véritable système d'utilité publique et, bien sûr, les nécessités de base.

La tête de puits qui a soulevé une ou plusieurs étapes, vous pourrez admirer au milieu des champs et ce est souvent vrai œuvre d'art, ne est pas que la fin et le plus visible d'un travail beaucoup plus complexe et laborieux qui est situé au-dessous du niveau du piéton de la chaussée. Le bien en fait, comme on le voit ci-dessus, ne est pas le résultat d'un forage pour atteindre une nappe souterraine; seulement Lido, à Saint-Nicolas, il était une fois un tel cas; le bien vénitienne est la place un véritable réservoir souterrain pour la collecte, la purification et le stockage des eaux de pluie.

Comme l'eau de pluie est collectée vu donner gradients appropriées au pavage du terrain; Parfois, cependant, il vaut mieux obtenir le impluvium ou limiter la profondeur de l'excavation, mais aussi pour empêcher la pénétration de l'eau salée en raison de marées hautes, le plan du champ est soulevée en partie, que pour les deux puits Campo Sant'Angelo, ou pas du tout, comme pour le bien dans Piazzetta dei Leoncini ou en face de la Chiesa di San Trovaso.

De la description que nous avons donnée, nous comprenons comment la construction d'un puits a toujours été un travail très difficile; fait remarquable est l'entité des masses de matériaux déplacés, et la plupart en dessous du niveau de la lagune, qui étaient nécessaires pour la protection de palplanches et les caissons de l'eau; alors besoin d'une précision spéciale d'exécution et connaissance de la situation du lieu, afin de ne pas bouleverser l'équilibre des statiques, parfois délicates, les bâtiments environnants. Même du fardeau économique du travail ne était pas indifférent.

D'autre part, l'approvisionnement en eau potable pour une ville comme Venise, isolé et exposé au milieu des lagunes, ce était toujours une question très importante, à la fois pour le bien-être nutritionnel à la fois pour l'aspect stratégique et politique.

Cela explique pourquoi le gouvernement de la République a toujours encouragé dans tous les sens la construction et l'entretien des puits.

Compte tenu de la nécessité que les puits étaient toujours dans l'ordre, en particulier du point de vue de la santé, de la République avait assuré la surveillance assidue (en plus de l'infanterie des surintendants de l'eau, la santé et Comun) devait exercer un contrôle aussi les curés et capicontrada auxquels a obtenu la garde des clés des réservoirs, qui a ouvert deux fois par jour: matin et soir, au son de la cloche des puits.

Comme les cours intérieures des palais et des bâtiments aussi pas exactement luxueux, ils étaient souvent fournis par un puits privé, ce était le titre de mérite pour le citoyen riche ou pour la famille avec des possibilités économiques, offrent un bien-to-City. Armoiries et inscriptions gravées sur le monument sont souvent le cas des puits, dans un signe de gratitude et de souvenir du public de l'exécution de l'usine. La richesse privée des Vénitiens était trop bien comment être mis au service de la communauté, et non pas pour le don paternaliste aux classes les plus pauvres, mais consciente et calculée nécessité pratique.

Les puits vénitiens sont actuellement autour de 600 et ils ne sont pas en cours d'utilisation. Selon les statistiques de l'Office municipal d'ingénieur, établis sur la Décembre 1858, à l'époque il y avait, cependant, seulement dans les Venise, 6046 puits privés et 180 publics, plus de 556 déjà enterré. Restent visibles aujourd'hui seulement partie de têtes de puits, ce est à dire la bague extérieure, presque toujours en pierre d'Istrie, avec vue sur le "tonneau", et les plaques d'égout qui ont été utilisés pour le nourrir.